Quand une soirée éteint tout doute.

C’est avec le petit nez encore rosé de ma soirée que je vous raconterai mon premier rassemblement avec les membres du RRQ. Cette veillée festive et instructive qui me laisse cette saveur de revenez-y! Mes pieds qui ne veulent qu’avancer un pas devant l’autre, ma bouche qui a cette rage de partager mes idées!

Gordon Bernstein à l’OQLF

Depuis son arrivée à la tête de l’État québécois, Jean Charest nous a amplement habitués aux nominations partisanes, aux conflits d’intérêts et aux graissages de pattes des amis du régime.  L’Office québécois de la langue française (OQLF) n’y a pas échappé.  Cet organisme est aussi dans le collimateur des libéraux depuis des années, leurs alliés se retrouvant sur son conseil d’administration, et on sait très bien pourquoi.

Aujourd’hui, le RRQ a besoin de vous !

Il arrive qu’on ne puisse pas militer. C’est arrivé à tout le monde. On regarde les choses aller, on aimerait agir. On s’indigne, mais les circonstances de la vie font qu’il nous est impossible de participer directement à améliorer les choses. On peut se trouver trop vieux, ou trop jeune. Trop occupé peut-être, ou travaillant […]

On ne se replie pas !

Constatant le sort qui fut réservé au Bloc Québécois le 2 mai dernier, plusieurs indépendantistes sont aujourd’hui tentés de fermer boutique pour mieux se concentrer sur la guerre que nous avons à mener au Québec.  Un tel repli constituerait une grave erreur stratégique.  Par conséquent, je dis fermement non à la cessation des activités du BQ.

C’est maintenant le tour des « purs et durs »

C’était écrit dans le ciel que ça arriverait un jour ou l’autre. Aussi brutalement aurait été difficile à prédire, mais un fait demeure : se prétendre souverainiste sans jamais travailler à l’avancement de ce projet a des conséquences. Le Bloc l’a appris hier à ses dépens. Bien des indépendantistes en ont eu marre de se faire prendre pour des valises par un parti qui, par sa mollesse et son obséquiosité légendaires, ne faisait rien pour accélérer la marche du Québec vers la liberté. À cause de cela, ces indépendantistes ont appuyé une autre formation que le Bloc ou sont demeurés chez eux au lieu d’aller voter, avec les résultats que l’on connaît.

Le RRQ inspire La Presse

Il y a quelques mois, le RRQ avait pris l’initiative d’écrire une lettre aux plus importants donateurs libéraux, et avait rendu public ici leur nom, adresse et occupation. Les libéraux, au comble de l’indignation, on fait une plainte à la SQ, tout en admettant que notre opération était tout à fait légale… Cherchez l’erreur! Comme à […]

Colère électorale

Demain est enfin le jour J.  « Enfin » dans le sens que le supplice achève.  L’on saura alors si le cataclysme annoncé aura bel et bien eu lieu, si la vague orange, en pleine saison des inondations, aura éclaboussé le Québec.

Je refuse d’être un terroriste!

Ok, admettons que l’indépendance est une solution radicale… Elle reste quand même une solution à une situation qui nous emmerde radicalement depuis 250 ans. Ce n’est pas d’hier que les états coloniaux justifient la répression des mouvements décentralisateurs, indépendantistes et sociaux en les taxant de radicaux et de terroristes. Si nous ne sommes pas assez radicaux, ils le seront en notre nom, comme dans les années soixante lorsqu’ils ont organisé des activités du FLQ. Il ne faut pas les laisser mettre en place l’instabilité sociale et politique qu’ils ont besoin pour nous écraser une fois de plus.

Le congrès du brasse-camarade !

Au Parti Québécois, un congrès s’avère toujours une opération de haute voltige qui peut déraper à tout moment.  De ce fait, les chefs les craignent comme la peste et les préparent méticuleusement ; ils veulent que tous marchent au pas, dans la direction préalablement établie.  Défi s’il en est un quand on connaît la propension des souverainistes à faire preuve d’indiscipline.  Pas pour rien que les congrès sont de moins en moins tenus régulièrement ; ils épuisent les directions.