« Ils sont tous pareils », voyez-vous cela. On a beau ne pas tripper trop trop sur les politiciens, un fait demeure quand même : le manque de courage et de vision des uns n’est rien en comparaison des magouilles à Charest. Exemple parmi tant d’autres: ce type d’une malhonnêteté plus que certaine a osé dissimuler durant une décennie le fait qu’il touchait un salaire secret de 75 000$ par année. À ce jour, on ne sait toujours pas d’où provenait cet argent ; on ne sait même pas comment le premier ministre fait, depuis qu’il a cessé de toucher cet argent (il y a un an environ), pour joindre les deux bouts. Vous aussi vous vous posez la question ? Hé bien sachez que les libéraux, Charest en tête, s’en contrefoutent comme de leurs dernières chemises. La démocratie, ils foulent au pied!
Partant de là, considérant le degré de crassitude de Charest, fallait-il vraiment s’attendre à ce qu’ils agissent dans le sens des intérêts du peuple en mettant sur pied une commission d’enquête digne de ce nom ? Bien sûr que non ; seuls les naïfs pouvaient croire que Charest prendrait le parti du peuple à l’encontre de la nébuleuse fédéraliste. Ce type est vendu au pouvoir fédéraliste, et ce, depuis toujours. Tout ce qu’il fait doit servir ses maîtres ; il ne fait jamais rien pour leur déplaire. Les citoyens ne sont pour lui que des pions qui doivent demeurer dociles pendant que le système les exploite de meilleure façon. Il est là pour ça et pour rien d’autre.
Aujourd’hui, tout le monde est contre lui, : policiers, membres du barreau, ouvriers et simples citoyens. Mais comme un chêne poussant dans le fumier, Charest est inébranlable. Protéger le parti, il fait. Jamais le système n’a trouvé plus loyal serviteur que ce sale type !
Il est maintenant clair, aux yeux de tous, que l’entêtement du magouilleur en chef contribue à bloquer comme jamais la « démocratie » québécoise. Dans de telles circonstances, que reste-t-il à faire ? Signer des pétitions ? Envoyer des lettres aux journaux ? Bien sûr que non; tout a été dit, tout a été entendu. Il ne reste plus qu’à agir, qu’à prendre les forteresses libérales d’assaut, pour leur mettre le nez dans leurs petits tas. Jean Charest et toutes les marionnettes libérales doivent sentir le souffle de la colère citoyenne sur leur nuque, à tout instant. N’ayons pas peur des mots : ils doivent craindre l’impact de leurs agissements qui sont autant de violations des volontés des Québécois. Ils doivent redouter la colère citoyenne. Il n’y a qu’ainsi qu’on pourra les acculer au pied du mur et les contraindre à obéir au peuple.
Dernièrement, Patrick Lagacé invitait les Québécois à se rendre à la rencontre des libéraux pour leur faire vigoureusement part de leur mécontentement. Pour une fois, il n’avait pas tort. À partir de maintenant, les libéraux doivent être contraints à sortir de leurs bureaux avec des sacs de papier brun sur la tête. Il ne serait quand même pas normal qu’ils puissent vaquer encore tranquillement à leurs occupations alors qu’ils rient en pleine face des Québécois, eux qui sont tannés d’être les dindons de la farce.
Les libéraux ont osé kidnapper la démocratie. Aux citoyens de leur reprendre des mains. Si on demeure confinés dans nos salons, les libéraux continueront de nous rire en pleine face de leurs belles dents blanches. Vous n’êtes pas tannés de ça ?! Commence à être temps qu’ils aient peur ces magouilleurs !
C’est en ce sens que le Réseau agira le 4 novembre prochain. Plus de détails à venir.