Plus on y pense, plus la défaite du PQ pourrait être salutaire pour le mouvement indépendantiste, car le moment de la clarté est venu. Ou bien le PQ met l’indépendance au coeur de son discours, de ses actions et de ses campagnes électorales, ou bien il abandonne son option fondamentale. Ce que les Québécois ont rejeté lors de l’élection, ce n’est pas l’indépendance. C’est plutôt un parti qui n’avait à offrir que gêne, hésitation et improvisation par rapport à l’article un de son programme… Maintenant, fini le niaisage.