Heurtel à la rescousse d’un haut gradé péquiste

En 2002, Jean-Claude Scraire devait démissionner, dans le drame, des fonctions de président directeur-général qu’il occupait à la Caisse de dépôt et placement (CDP), fonctions qui lui avait été confiées par le Parti Québécois.  Une série de mauvaises décisions devait précipiter la chute de l’homme fort du PQ, et ce, trois ans avant la fin de son mandat de dix ans ; avec une prime de départ de 75 000$ en poche, bien sûr !