Je sais aujourd’hui que l’indépendance ne se fera pas avec les nationaleux, mais bien avec les révolutionnaires. En fait, je le sais depuis longtemps, depuis avant le Printemps Érable, j’ai compris que pour faire l’indépendance du Québec, il faut ébranler les colonnes du temple néocolonialiste canadien. Pour réussir à les ébranler par contre, faut savoir les identifier ces colonnes.