La chanson comme berceau de l’identité québécoise

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Cet ouvrage collectif rend hommage à une importante figure des lettres québécoises, spécialiste de la chanson québécoise, enseignant et auteur prolifique (une trentaine de livres) qui a régulièrement pris parole sur la langue française au Québec. Orphelin lui-même, Bruno Roy a aussi fondé le mouvement des Orphelins de Duplessis et présidé l’UNEQ pendant treize ans.

Ce recueil contient une section « création », une section « entretiens et témoignages » et une section « analyse ». Il est complété par une chronologie et une bibliographie sélective.  Il rassemble une vingtaine d’auteurs : écrivains connus tels que Fernand Ouellette, Jean-Paul Daoust, Bernard Pozier et Marc Chabot, artistes connus tels que Richard Séguin et Raôul Duguay. Il ressort de l’oubli certains textes comme celui de Louis-Jean Calvet sur Pauline Julien. La section consacrée à des études sur la chanson québécoise, volet essentiel de la carrière d’écrivain de Bruno Roy, rassemble des textes d’essayistes et universitaires tels qu’André Gervais, Danick Trottier, André Vanasse et Richard Baillargeon.

Le directeur scientifique de l’ouvrage, Jean-Nicolas De Surmont, est auteur de sept livres (cinq livres individuels, un ouvrage collectif, une traduction) et d’articles publiés dans une quarantaine de pays dans cinq domaines différents. Trois de ces livres portent sur la chanson québécoise dans le sillage de Bruno Roy dont il a fréquenté la personne et l’œuvre pendant des années.

Description

LA CHANSON COMME BERCEAU DE L’IDENTITÉ QUÉBÉCOISE

Mélanges en l’honneur de Bruno Roy

Cet ouvrage collectif rend hommage à une importante figure des lettres québécoises, spécialiste de la chanson québécoise, enseignant et auteur prolifique (une trentaine de livres) qui a régulièrement pris parole sur la langue française au Québec. Orphelin lui-même, Bruno Roy a aussi fondé le mouvement des Orphelins de Duplessis et présidé l’UNEQ pendant treize ans.

Ce recueil contient une section « création », une section « entretiens et témoignages » et une section « analyse ». Il est complété par une chronologie et une bibliographie sélective.  Il rassemble une vingtaine d’auteurs : écrivains connus tels que Fernand Ouellette, Jean-Paul Daoust, Bernard Pozier et Marc Chabot, artistes connus tels que Richard Séguin et Raôul Duguay. Il ressort de l’oubli certains textes comme celui de Louis-Jean Calvet sur Pauline Julien. La section consacrée à des études sur la chanson québécoise, volet essentiel de la carrière d’écrivain de Bruno Roy, rassemble des textes d’essayistes et universitaires tels qu’André Gervais, Danick Trottier, André Vanasse et Richard Baillargeon.

L’ouvrage intéressera les étudiants en littérature, les professeurs de lettres, les spécialistes de la chanson. Il intéressera aussi toute une génération de personnes qui a cru en Bruno Roy, l’être humain et le porte-parole de leur cause, même si cet ouvrage n’est pas strictement relié à la cause des Orphelins de Duplessis. Il permettra de redynamiser le rayon des ouvrages sur la chanson québécoise qui ont connu depuis la disparition des Editions Tryptique une baisse de publications. Il permettra de rappeler dix ans après son décès que l’oeuvre de Bruno Roy lui survit. L’apport de Bruno Roy à l’évolution de la société québécoise nous semble incontestable et mérite d’être soulevé.

Le directeur scientifique de l’ouvrage, Jean-Nicolas De Surmont, est auteur de sept livres (cinq livres individuels, un ouvrage collectif, une traduction) et d’articles publiés dans une quarantaine de pays dans cinq domaines différents. Trois de ces livres portent sur la chanson québécoise dans le sillage de Bruno Roy dont il a fréquenté la personne et l’œuvre pendant des années. Il a enseigné à l’Université de Metz, de Nancy II et à Barcelone, tout en poursuivant ses activités de recherche et de direction artistique à Bruxelles dans le cadre des activités de l’ASBL La Porte dorée.

 

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