Manifeste lucide pour la fin de l’hégémonie fédéraliste sur l’information

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Le manifeste contenu en ces pages se veut donc une dénonciation de l’hégémonie fédéraliste sur l’information. Il propose également des solutions qui méritent qu’on s’y attarde avec sérieux (Observatoire des médias, Commission sur la concentration de la presse, etc.). Les médias et ses professionnels, les citoyens, les politiciens, tous devraient y porter attention, car l’information est d’une importance capitale dans toute société qui se prétend démocratique.

Description

À l’automne 2005, les Éditions du Québécois publient une étude fouillée sur le traitement injuste réservé au mouvement indépendantiste par les médias. Cet ouvrage, Nos ennemis, les médias, suscite un vif intérêt chez les lecteurs mais les médias y font, en général, peu d’écho. Les rares journalistes qui s’y intéressent ne font alors que critiquer superficiellement la démarche sans l’analyser honnêtement.

À l’initiative de l’auteur de Nos ennemis, les médias, Patrick Bourgeois, et du directeur des Éditions du Québécois, Pierre-Luc Bégin, naît ensuite un manifeste pour dénoncer l’emprise fédéraliste sur les médias d’ici. Ce manifeste recevra l’appui d’une vingtaine de personnalités d’envergure du Québec et d’ailleurs, dont Victor-Lévy Beaulieu, Yves Michaud, Pierre Falardeau, Claude Jasmin, Andrée Ferretti, Jean-Marc Léger et tant d’autres. À l’aube d’un prochain référendum sur l’indépendance du Québec, le débat devra se faire, que les grands groupes de presse le veuillent ou non.

Le manifeste contenu en ces pages se veut donc une dénonciation de l’hégémonie fédéraliste sur l’information. Il propose également des solutions qui méritent qu’on s’y attarde avec sérieux (Observatoire des médias, Commission sur la concentration de la presse, etc.). Les médias et ses professionnels, les citoyens, les politiciens, tous devraient y porter attention, car l’information est d’une importance capitale dans toute société qui se prétend démocratique.

Le manifeste ici présenté s’enrichit d’un avant-propos expliquant la démarche de ses rédacteurs, d’une postface qui ouvre une fenêtre sur la suite des choses, de textes en annexes sur la question des médias et d’une importante bibliographie permettant une étude lucide des phénomènes médiatiques.

Voilà un incontournable outil pour que se fasse enfin le débat sur les médias québécois et leur traitement de la question nationale.